Gilles MICHEL est passionné depuis l’âge de 12 ans par les domaines artistiques. Notamment la musique et l’écriture. Ses parents lui offrent une guitare en 1969 . En quelques années, il est connu pour ses talents de guitariste. Bercé et subjugué par les disques de Brassens, Brel, Pierre Perret, Renaud, et bien d’autres, il dissèque une à une les chansons, les analyse. IL VEUT COMPRENDRE POURQUOI ELLES FONCTIONNENT. Patiemment, pendant des années, comme dans un laboratoire, il écrit, compose, se teste, garde, jette. Une trentaine de ses créations restent dans les tiroirs. Tous les événements qui le marquent finissent sur le papier. Elles resteront ainsi cachées pendant 25 ans.
Parallèlement, il joue en amateur dans des groupes locaux comme musicien ou chanteur. En 2002, un des musiciens qui a entendu une de ses créations le pousse sur scène à l’entracte. L‘effet est immédiat, le public le rappelle 6 fois. On lui demande de revenir en solo. Sous la pression du public, il monte un spectacle entièrement de sa composition autobiographiquement intitulé « J’me jette à l’eau ». On y retrouve ses chansons les plus connues : « Qui tire les ficelles » « Dernière ballade pour une 4L » « Le RAP du Bougnat » « Les clefs » etc….L’enthousiasme du public le stimule. Il enregistre une maquette et passe sur une télé locale début 2003. C’est un succès! Il joue alors dans de nombreuses salles de la région clermontoise.
Fin 2003, une jeune femme lui propose d’animer un anniversaire. Il s’y rend , et fait du hasard,elle lui demande de lui chanter « Le jardin d’hiver » d’Henri SALVADOR. Il prend sa guitare et se mettent à chanter spontanément en duo. Les personnes présentes dans la pièce se retournent stupéfaites par leur deux voix instantanément en place. Gilles reste béat devant la voix envoûtante, douce et musicalement parfaite qu’il vient d’entendre. Cette voix est celle de Sylvie Théïs. Elle, de son côté a toujours rêvé chanter mais l’occasion ne s’est jamais présentée. « Est-ce que tu veux que je t’écrive une chanson, c’est un de mes rêves d’écrire pour quelqu’un?». Bien évidemment, qu’elle veut. . Une semaine plus tard née une bossa nova intitulée « Les boniments ». Fiers de leur coproduction, ils engendrent « Côté pile, côté face » dans la foulée. Sylvie inspire Gilles par sa douceur, sa sagesse. En quelques semaines, il lui écrira suffisamment de chansons pour faire un album. « Le jardin sauvage », « Le vieux démon » Comme Sylvie n’a jamais chanté sur scène et fait preuve d ‘une grande timidité, Gilles imagine un stratagème où il prend « au hasard » une personne dans la salle pour chanter avec lui. « Mais quand la musique » est l’occasion de faire monter Sylvie sur scène, et une fois encore, le public est séduit.
En avril 2004, lors d’un spectacle de Georges Moustaki à Clermont Ferrand, Gilles, bouleversé par le personnage de Georges écrit sa vision du concert : « L’homme aux cheveux blancs ». La chanson très humaniste et émouvante, portée par la voix de Sylvie, parvient aux oreilles de l’intéressé qui la reconnaît comme étant un des plus beaux hommage qu’on lui ait fait. Il la fait figurer sur son site Internet et invite les deux musiciens à Sète (ville de Brassens). Rencontre très émouvante. Il leur apprend que la chanson a été envoyée chez sa maison de disques, Virgin. Ils entrent ainsi dans le cercle fermé de l’auteur de Milord pour Edith PIAF et les plus belles chansons de Serge Reggiani.
2005 est une année de marathon de compositions et de concerts. Ils sont de plus en plus demandés. En août, au festival de Barjac, Allain LEPREST * les repère et les fait chanter en duo avec lui à la clôture du festival. Gilles écrira en souvenir « Le prestidigitateur du café du midi». Au retour du festival, dans la précipitation, ils participent au concours de chanson du Mont Dore et remportent le deuxième prix.
Ils décident alors de trouver un nom à ce duo. Comme ils collectionnent les citations, bons mots, maximes et autres adages, Sylvie trouve ADAGE. Leur adage préféré en référence à ce chemin si long qui les amène sur les pas des plus grands: « La chance est l’autre nom que l’on donne à la volonté ».
En été 2006, ils sont repérés et félicités par Jean DUFOUR, l’agent de Félix LECLERC, Raymond DEVOS et Yves DUTEIL qui leur propose de tourner dans les cabarets de chanson et de participer au festival Chant’appart en Vendée.
LE STYLE ADAGE
Adage, c’est un style musical fait de choses diverses et surtout de surprises. Du classique au jazz, du rap au reggae, de la chanson à voix à la parodie la plus burlesque. On rit, mais aussi on pleure, car les deux comparses sont de vrais auteurs de talent qui peuvent arracher les larmes tant ils savent faire passer l’émotion, lui avec ses mots, elle avec sa voix. La qualité de leurs textes n’a pas échappé au public.
Vous pouvez écouter ADAGE et lire les textes sur le site de Gilles: http://Gilles-Michel.com Le site ADAGE étant en cours de construction.
Gilles et Sylvie au Festival de Barjac.
« Pour distraire le public, il faut sans cesse le surprendre. Pour cela, il n’y a qu’une recette, c’est l’imagination ».
« Avant, quand je chantais tout seul, j’avais la sensation d’avoir la puissance d’une flûte à bec. Avec Sylvie, le destin m’a offert un orgue d’église et c’est pour un orgue que je compose.» Gilles
« Cette rencontre avec Gilles a donné un sens à ma vie. Il m’apporte l’aventure inattendue d’un conte de fée dans le monde de la chanson par les rencontres que nous y faisons» Sylvie
A bientot et continuez à nous donner du bonheur sur les scènes de France.....